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 Fic SG1 : Une histoire banal en fait

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MessageSujet: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 14:52

Et voici la dernière de mes fics ... Je précise que cette histoire n’est pas du tout réaliste, on va dire que je ne savais pas comment finir donc, on ne fera pas attention à la véracité de tout ça…

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Salle de briefing

Jack : Donc c’est réglé. Daniel, Jonas et Teal’c vous partez sur P5Y548 dans 10 minutes.

Daniel : Je pense que SG4 a dû déjà bien avancer sur la reconstitution du site archéologique, on ne devrait pas en avoir pour trop longtemps.

Teal’c : Ma présence la bas est-elle vraiment nécessaire ?

Jack : Plus que jamais. Avec leurs fouilles et leur découverte, SG4, nos petits Daniel et Jonas sont tout excités, je compte sur vous pour veiller sur eux.

Teal’c inclina la tête en guise d’approbation.

Sam : Hum, et moi mon général ? Je ne pars pas avec eux ?

Jack : Carter, je souhaiterais vous voir dans mon bureau.

Sam : Que se passe-t-il ?

Jack : Ne craignez rien, il faut juste que je vous parle de quelque chose.

Sam : A vos ordres monsieur.

Le briefing prit fin et SG1, amputée de Sam partit se préparer. 10 minutes plus tard, ils franchirent le vortex. Le général O’Neill les regarda partir avec envie. Il reprit ses esprits et se dirigea à son bureau où l'attendait déjà le colonel Carter.

Jack : Ah Carter ! Entrez, je vous en prie.

Sam pénétra dans le bureau du nouveau général. Elle scruta la pièce de fond en comble et remarqua que son ancien colonel avait déjà décoré son bureau à sa convenance. Pas de fioritures, seule une plaque à son nom et grade et deux cadres photo agrémentaient le décor. Sam prie place sur un fauteuil et Jack fit de même.

Jack : Alors, Carter, je vois que vous admirez ma déco. Ca vous plaît ?

Sam : Je n’aurais peut-être pas fait à l'identique, mais c’est pas mal.

Jack : Je voulais mettre un réacteur à naquada mais le seul exemplaire
est dans votre labo. Je ne voulais pas vous priver de naqui !

Si Jack avait voulu détendre l'atmosphère, il ne s’y serait pas prit autrement. Devant le sourire de Sam, il savourait ce moment de complicité qui lui manquait tant depuis qu’il n’était plus sur le terrain avec SG1.

Sam : Mon général, puis-je vous demander quelle est la raison de ma présence ici ?

Jack : Ne soyez pas toujours sur la défensive Carter. Je ne vais pas vous manger. Si je vous ai convoquée, c’est pour parler un peu.

Sam : Parlez un peu ? De quoi voulez-vous parler ?

Jack : Et bien je me demandais si tout allait bien dans vos nouvelles fonctions ?

Sam : Tout va très bien. Et vous, le terrain ne vous manque pas trop ?

Jack : Oh que si ! J’ai résisté à tout mais cette paperasse aura ma mort.

Sam : Vous pouvez avoir un assistant, non ?

Jack : J’y pense en effet. Mais si vous le voulez bien, c’est de vous que j’aimerais parler.

Sam : Je vous assure, tout va très bien.

Jack : Le commandement de SG1 n’est pas trop dur ?

Sam : Vous savez comme moi que SG1 est tout à fait autonome et que je coordonne juste les missions.

Jack : Et en dehors de la base ? Tout se passe bien aussi ?

Sam : Sauf votre respect monsieur, pourquoi me posez-vous toutes ces questions ?

Jack : N’y voyez pas d’offense colonel, je fais simplement une revue de mes troupes. J’aime prendre des nouvelles des personnes de la base. Et encore plus des gens que j’apprécie.

Sam commença à rougir et ses yeux commençaient à regarder le plafond.

Jack : Je ne vous choque pas quand même, vous savez bien que je vous considère plus comme une amie que comme un simple colonel de cette armée.

Sam : Je, je suis touchée.

Jack : Quoi, vous ignoriez ça ?

Sam : Euh, non. Moi aussi je vous considère comme un ami. Mais vous savez le règlement...

Jack : Vous voyez, il y a tout de même quelques avantages à être général et à commander toute cette base. C’est que le règlement, c’est moi qui le fais appliquer.

Sam commença doucement à comprendre où voulait en venir Jack. Il n’allait quand même pas lui faire des avances ! Quoi que cela ne la dérangerait guère étant donné ses sentiments envers lui ! Mais il savait qu’il y a avait Pete dans cette histoire ! Même si en ce moment avec Pete ce n’était pas vraiment ça…, plutôt pas du tout ça même … Sam stoppa ses délires !

Jack : Bon, je voulais aussi vous proposer une mission.

Sam : Une mission ?

Jack : Je dois superviser les tests d’admission des cadets et j’ai pensé à vous pour me seconder. Martyriser un peu ces jeunes recrues, les noter, leur en faire voir de toutes les couleurs. Ca vous tente ?

Sam : Est-ce que c’est un ordre ?

Jack : Non, bien sûr que non. Je vous demande ça en tant que service. J’adorerais faire de nouveau équipe avec vous colonel.

Sam : Ca sera avec plaisir mon général. Comme au bon vieux temps !

Jack : Ah !! Parfait, j’avais peur que vous refusiez. Alors je prépare tout et je vous donne rendez-vous dans une demi-heure à la salle de sport.

Sam : Entendu.

Sam fit son sourire spécial Jack et sortit du bureau dans un état d’esprit qu’elle n’avait pas eut depuis longtemps. Elle fila à ses quartiers pour se changer.

Sam : Et bien ça, si je m’ y attendais ! Allez, comme au bon vieux temps.

30 minutes plus tard, Jack avait tout préparé. La salle de sport était prête à accueillir la nouvelle cuvée de cadets. Il avait affiché la liste des noms et inscrit son nom ainsi que celui du colonel Carter.
Pile à l'heure, les premiers élèves commençaient à arriver.

Johnson : Les mecs, regardez ça ! C’est le général O’Neill en personne qui va nous faire passer nos tests.

Andrews : On va déguster c’est moi qui vous le dit. Il paraît qu’il est super dur avec les cadets.

Martin : Mais c’est pour notre bien. Et regardez un peu ça ! Le colonel Carter va être là aussi.

Johnson : Tu le connais ?

Martin : Tout le monde ici la connaît.

Condors : Je serais vous messieurs, je me concentrerais plus sur les tests parce que c’est vraiment pas n’importe qui, qui va nous noter.

Johnson : Toi aussi tu les connais. Pourquoi tout le monde ici les connaît et pas moi ? A vous entendre, on dirait que vous parlez de deux merveilles du monde.

Condors : Ce n’est pas loin de la vérité. Tu as déjà entendu parler de SG1 ?

Johnson : Oui et alors.

Martin : Et alors ? ? ? On a la chance de se faire évaluer par le général de cette base et par le commandant de l'équipe la plus glorieuse et toi tu dis «et alors » ?

Johnson : Ben je débarque moi. Je suis arrivé hier.

Condors : Chut, il arrive.

En une fraction de seconde, tous les commentaires et les chuchotements cessèrent.

Jack : Bonjour tout le monde ! Entrez, je vous en prie.

Tout le monde entra en silence, dans l'intimidation la plus totale. Les cadets s’assirent sur des tapis disposés partout dans la pièce. Devant eux, le général O’Neill avait installé deux tables et deux chaises.
Il s’installa à la première et posa un tas de feuilles devant lui.

Jack : Bon, je suis le général O’Neill.

Cadets : Bonjour mon général ! ! !

Jack : Vous savez tous pourquoi vous êtes ici, donc je vous épargne le petit discours. En attendant que le colonel Carter arrive, je vais faire l'appel.

Jack commença donc à s’assurer que tout le monde était là et comme prévu, le colonel Carter rejoignit Jack à sa table. Son arrivée n’avait évidemment pas laissé sans commentaires les hommes de la salle. (Oui faut dire qu’il y a aussi des demoiselles cadettes)

Jack : Un peu de silence ! Voici donc le colonel Carter qui va assister et participer à votre évaluation.

Sam : Bonjour à tous !

Cadets : Bonjour mon colonel ! !

Jack : Alors puisque tout le monde est là, on va pouvoir commencer les choses sérieuses. Afin de vous affecter au mieux dans vos futurs postes, on a besoin de savoir comment vous allez réagir face à l’ennemi. Pour commencer, on va vous tester au combat, ce qui est pour vous la dernière chance de vous en sortir seul au cas où une mission tournerait mal.

Sam : Autant vous dire, que c’est la partie de vos tests la plus importante. Mettez-vous deux par deux par tapis. Un garçon contre une fille.

Dans un petit brouhaha, les groupes se formèrent et on attendait plus que le signal de départ.

Jack : Avant de vous donner le signal, y a-t-il des questions ?

Martin : Tous les coups sont-ils permis ?

Jack : Affirmatif ! Mais évitez quand même de vous entre-tuer, ça fait des tâches sur les tapis.

Tous regardèrent le général. Décidément, certain ne comprendraient jamais cet humour.

Jack : Bon, à mon signal !

Il siffla dans son sifflet et les combats commencèrent. En l'espace de quelques minutes, deux ou trois groupes se détachaient de part leur technique et leur inventivité au combat.

Jack : Carter, regardez un peu Colins et Johnson.

Sam : Ils ont déjà un niveau supérieur à la normale, on dirait même qu’ils retiennent leurs coups.

Jack : Heureusement pour leurs adversaires je crois.

Sam : Mais attendez, je le crois pas là. Hé ! ! ! Andrews ! C’est un combat que vous êtes censé faire, pas une séance de tripotage ! Trois points en moins pour vous !

Jack : Hé, hé, j’ai comme l'impression que vous appréciez particulièrement les sélections colonel.

Sam : Au risque de paraître sadique, oui je commence à m’amuser comme une folle. Merci d’avoir penser à moi pour vous aider !

Jack commença à sourire allègrement et décida en accord avec son colonel de corser un peu les choses. Un petit jeu sympathique se mit en route, pour achever complètement les cadets.

Sam : Allez un peu de nerf ! Vous croyez que si vous faites ce genre de prestation devant une troupe jaffa, vous allez vous en tirer ?

Jack : Remuez-vous bon sang ! !

Visiblement épuisés par la lutte, les cadets s’écroulaient les uns après les autres.

Sam : On ne vous a pas dit de dormir, relevez-vous ! !

Jack à Sam : Attendez, j’ai une idée.

Jack : Cessez les combats, tout le monde en ligne devant nous !

Sam à Jack : Oh ! Non, on ne va pas oser ?

Jack à Sam : Oh si ! Osons. A vous l'honneur.

Sam fit sa fausse gênée.

Sam : Après ce que vous nous avez montré, vous devez encore être en pleine forme ! C’est dans des conditions dix fois pires que vous allez vous retrouver en missions ! Tout le monde à plat ventre ! ! 50 pompes ! !

Jack : Rectificatif, 100 pompes ! ! Et on ne veut rien entendre !

Sam à Jack : J’adore ça mon général.

Jack à Sam : Ca vous rappelle des souvenirs ?
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:02

Les pauvres cadets s’exécutèrent non pas sans quelques grognements. En tendant l'oreille, on pouvait entendre quelques doux mots sortirent de leur bouche.

Jack : Martin ! ! Parlez plus fort, je n’ai pas entendu votre question !

Martin : Je n’ai rien dit mon général.

Jack : Je préfère ça ! Vous m’en ferez 20 de plus.

Après encore quelques petits exercices, le test de combat prit fin.

Jack : C’est terminé pour cette épreuve ! ! On vous attend cet après midi en surface pour l’épreuve de tir ! J’espère que vous allez vous sortir de votre léthargie !

Les cadets, complètement dépités sortirent la tête basse de la salle.
Après un rapide déjeuner, les jeunes recrues se rendirent à leur deuxième test. Leur après-midi fut aussi éprouvante que leur matinée. Le général O’Neill et le colonel Carter pris dans leur rôle, démontaient les jeunes recrues les uns après les autres.
Même Sam qui n’était pas pourtant quelqu’un de très autoritaire, semblait se défouler et apprécier particulièrement sa tâche.
Jack, lui, prenait aussi un malin plaisir à voir son colonel aussi décontracté. Depuis qu’il était coincé dans son bureau avec toute sa paperasse, il ressentait un énorme manque. Manque d’action tout d’abord, car le terrain, les missions le démangeaient, mais aussi manque affectif, car il se rendait compte que sa complicité avec Sam et leurs non-dits, lui manquaient énormément. Evidemment, maintenant qu’il commandait le SGC, il aurait pu tenter un rapprochement et lui avouer enfin ce qu’il gardait depuis trop longtemps, mais le destin en avait décidé autrement et Sam en avait eut sûrement assez d’attendre et s’était fiancée avec un autre. Jack ne voulait que le bonheur de son colonel et avait donc décidé de ne pas s’immiscer dans leur couple. Il profitait donc de ce moment privilégié où il était en compagnie de Sam. La voir comme ça se défouler et s’amuser, lui faisait du bien.
La séance prit fin et Jack annonça que les résultats des évaluations seraient affichés le lendemain matin.

Jack : Et bien Carter, quelle journée !

Sam : Une journée très agréable pour ma part.

Jack : Je ne pensais pas vous voir aussi sévère

Sam : Je suis la première surprise, mais je crois que j’avais besoin de me défouler un peu et de m’amuser.

Jack : Mais on en a tous besoin.

A ces mots Jack eut l'impression qu’elle essayait de lui dire quelque chose. N’était-elle pas heureuse dans sa nouvelle vie ? Devait-il insister ou se faisait-il des idées !

Sam : Merci mon général, j’ai passé un très bon moment.

Jack : Mais de rien, j’ai passé également une journée délicieuse en votre compagnie, pour la prochaine cession, je peux donc compter sur vous ? Nous allons devenir la terreur des cadets.

Sam : Ca sera avec plaisir.

Jack : Bon et bien si on allait dîner au mess, je ferais les moyennes des notes après.

Sam : Oui, mais je vais vous aider, ça ira plus vite.

Jack : Entendu, alors à table colonel !

Ils partirent donc au mess où les attendaient Daniel, Teal’c et Jonas qui étaient rentrés de leur mission. Quelques cadets étaient aussi attablés. Jack et Sam s’installèrent avec leurs amis et dînèrent dans la bonne humeur et la camaraderie. Daniel n’en croyait pas ses oreilles que Sam ait pu ainsi martyriser les jeunes recrues.

Daniel : Jack, je suis sûr que tu as eut une mauvaise influence sur notre gentille Sam.

Jack : Je t’assure que j’y suis pour rien.

Sam : Le général a raison, je me suis prise au jeu et j’ai adoré jouer les instructeurs.

Teal’c : De votre part O’Neill, c’est normal, mais Sam vous me surprenez.

Jonas : Ben, elle a le droit de s’amuser quand même.

Sam : Vous auriez aimé aussi infliger tout ça aux cadets, n’est-ce pas ?

Jonas : J’admets que l'idée de me venger de tout ce que vous m’avez fait subir n’est pas désagréable.

La fin du repas se déroula dans des crises de rires. Cela faisait bien longtemps que l'ex équipe SG1 au complet ne s’était pas retrouvé ainsi.

Andrews : T’as vu ça ? Non seulement ils nous humilient mais en plus ils rigolent entre eux.

Johnson : Ouais, on se croirait revenus à l’époque où SG1 étaient les chouchous de toute la base.

Pendant que ça commençait à jaser au mess, Jack et Sam étaient partis dans le bureau de Jack pour commencer les délibérations.
Après deux bonnes heures, tous les cadets furent notés et affectés à leur prochaine équipe.

Jack : Enfin fini !

Sam : J’espère qu’on a fait les bons choix.

Jack : On verra ça avec le temps. Colonel ! ! Je vous souhaite une bonne nuit.

Sam : Merci monsieur, à vous aussi.

Sam quitta la pièce et se dirigea directement dans ses quartiers. Jack, lui, rangea ses papiers et imprima la liste des affectations. Il irait afficher tout ça le lendemain matin. Arrivée dans sa chambre, le colonel Carter, malgré la fatigue, arborait un sourire de satisfaction et de bien-être. Ce n’est qu’en voyant son portable qu’elle reprit un air sérieux.

Sam : Tiens, un SMS, et quatre appels en absence !

Elle ouvrit son message et son visage changea d’un coup d’expression. Le SMS venait de Pete. Elle se surprit elle-même en pensant qu’il était vraiment collant !
Les messages sur sa boîte vocale étaient également les siens. Il n’avait pas réussit à la joindre de la journée et avait l'air en colère. Sam se mit soudain à penser que de toute la journée, pas une seule fois elle n’avait pensé à lui. Elle était tellement bien avec le général, qu’elle en avait oublié que Pete devait partir en déplacement en Europe. D’un coup, tout devenait claire dans sa tête. Depuis des mois, elle avait trouvé en Pete un palliatif affectif à son rêve inaccessible. Elle prit conscience qu’elle se servait de lui, qu’elle ne l'aimait pas, ou du moins pas comme lui l'aimait.
Elle reprit ses esprits et décida de lui téléphoner. En composant le numéro, une évidence lui apparue. Il était peut être temps de prendre un peu de distance.

Pete : Shanahan, j’écoute.

Sam : Pete, c’est moi.

Pete : Sam ? Mais j’ai essayé de te joindre toute la journée !

Sam : Oui j’ai eu tes messages, mais je n’ai pas eu une minute à moi aujourd’hui.

Pete : Même pas quelques secondes pour penser à moi et me dire au revoir ? Je te rappelle que je pars en Europe pour 15 jours.

Sam : Oui je sais, mais je t’assure, j’ai été tellement occupée que je n’ai pas eu le temps de t’appeler.

Pete : Encore et toujours ton travail.

Sam : Oui mon travail, il est primordial.

Pete : Ton travail ou tes collègues ?

Sam : De quoi tu parles, j’ai peur de ne pas comprendre.

Pete : Tu le sais très bien, j’ai bien remarqué ton regard quand l'autre est avec toi.

Sam : L'autre ?

Pete : Fais pas l'innocente, les “ ah bonjour mon général ”, “ je vous présente Pete mon général ”, “ oui bien sûr mon général ”.
Sam, tu ne devrais pas trop t’investir avec ce genre de personne. Ni trop t’impliquer avec cette base militaire.

Sam : Non mais tu dérailles là ! Jack est mon supérieur, rien de plus.

Pete : Et tu l'appelle Jack maintenant ?

Sam l'avait sorti tout seul. Elle ne s’était même pas rendue compte qu’elle l'avait appelé par son prénom.

Sam : Si c’est pour me faire une scène, je préfère raccrocher ! Je voulais te souhaiter bon voyage, mais puisque tu le prends comme ça !

Pete : Je te le répète Sam, méfies toi de ton SGC, ils ne font pas que de bonnes choses, prends quelques jours de congés. Eloignes-toi de cet endroit un petit moment.

Sam : Bon ça suffit maintenant, visiblement tu n’es pas dans ton état normal.

Pete : Si, si, Sam, je vais bien, tu sais que je t’aime et que je ne veux que ton bonheur. Fais ça pour moi.

Sam : Je ne vais rien faire du tout. Enfin si, je crois que je vais être honnête dès à présent avec toi ! On devrait prendre un peu de distance toi et moi.

Pete : Comment ça ? Qu’est-ce que tu veux dire ?

Sam : Ecoute Pete, tu n’y es pour rien, c’est moi. Je veux être honnête avec toi. Je ne t’aime pas comme toi tu m’aimes. J’ai essayé, mais même avec le temps, rien n’y fait. Mes sentiments pour toi ne sont pas aussi forts.

Pete : Mais...... Sam...… Non...... Je.........

Sam : Essaye de comprendre, la situation est devenue trop compliquée. Et si en plus tu me fais des crises de jalousies…

Pete : Pourquoi as-tu accepté ma demande alors ? Par dépit ? Tu t’es dis, tiens et si je disais oui en attendant de trouver quelqu’un d’autre ?

Sam : Non, j’ai voulu que ça marche, je t’assure mais je ne peux pas.

Pete : Allez te fatigues pas ! Sam, je t’en prie pars de cette base quelques jours. Je te rappelle dès que je suis à Paris.

Sam : Mais Pete ! ! Tu comprends ce que je viens de te dire ? Et pourquoi veux-tu absolument que je m’éloigne du SGC ? Y a t il quelque chose que je devrais savoir ?

Pete : Fais-moi confiance ma chérie !

Sam : Allô ? ? ? ? Pete ? ? ? Il a raccroché, mais qu’est ce qu’il lui a prit ? Pourquoi me met-il en garde comme ça ? En plus, il n’a visiblement pas compris ce que j’essayais de lui dire.

Sam décida de se coucher. Elle y verrait peut être plus clair demain. Elle eut du mal à trouver le sommeil, malgré la fatigue qu’elle ressentait. Les paroles de Pete se mélangeaient dans sa tête et elle finit par s’endormir.

Lendemain matin

Le général O’Neill fut ce matin là un des premiers levés à la base. Il semblait d’excellente humeur et c’est en sifflotant qu’il alla afficher les résultats sur la porte de la salle des cadets.
Sur les 30 cadets, seule 10 obtenaient d’excellents résultats dont une majorité de jeunes filles (normal). Mais personne n’avait obtenu la note maximale synonyme d’intégration directe à SG1.
Quelques minutes plus tard, un petit attroupement commençait à se former autour du tableau d’affichage. Tout le monde pris note de son affectation et s’en alla l'air dépité.
Jack qui était déjà au travail dans son bureau fut interrompu par la sonnerie du téléphone.

Jack : O’Neill, j’écoute !

Pendant ce temps là colonel Carter venait de finir de se préparer. Elle avait encore en mémoire sa conversation avec Pete et se demandait toujours ce qu’il voulait dire. Cela la tracassait car elle sentait qu’il allait faire quelque chose de regrettable.

Sam : Après tout, je me fais peut-être des idées. Pour moi tout est clair, c’est fini. N’y pensons plus. J’aurais une conversation avec lui dès son retour d’Europe.

Concentrée et prête à affronter une nouvelle journée, Sam sortie de ses quartiers. Elle alla directement au mess prendre un bon petit déjeuner.

Bureau du général.

Jack : Entendu, je trouve quelqu’un pour ma remplacer et j’arrive tout de suite.

Le général raccrocha le combiné, réfléchit un instant et sortit du bureau en courant. Il fonça directement vers les quartiers de Sam et frappa à la porte. Comprenant qu’elle était déjà partie, il regarda des deux coté du couloir et partit d’un bond vers le mess. Arrivé la bas, il vit Sam à table devant son café.

Tout essoufflé, il s’assit devant elle.

Sam : Mon général ? Que se passe-t-il ? On dirait que vous venez de courir le 100 mètres !

Jack : Carter ! Je vous ai cherché partout. J’ai un immense service à vous demander.

Sam : Que se passe-t-il mon général ?

Jack : Je suis très embêté, l'état major vient de m’appeler, je dois me rendre immédiatement à Washington.

Sam : Il s’est passé quelque chose ?

Jack : Je n’en sais pas plus, mais il faut que je trouve quelqu’un pour me remplacer pendant mon absence.

Sam : Et vous voulez que je vous trouve quelqu’un ?

Jack : Non, j’ai déjà trouvé. Vous êtes la seule personne à pouvoir assurer l'intérim.

Sam : Pardon ?

Jack : Je vous assure Carter, de toute la base, c’est en vous que j’ai le plus confiance. En plus, de part votre grade, vous êtes mon second en hiérarchie directe.

Sam : Mais monsieur, je ne peux pas, je n’ai aucune idée du travail d’un général.

Jack : Vous croyez que j’y connais quelque chose moi ?

Sam esquissa un sourire. Le général essaya de dédramatiser la situation.

Jack : Vous allez voir, c’est très facile. Vous vous installez à mon bureau, vous attendez quelques minutes en appréciant le silence et ensuite, vous passez la journée à écouter les réclamations et les doléances de toute la base. Vous allez voir, les problèmes vont arriver tout seuls et se résolvent tout seuls aussi. Si moi j’y arrive, je crois que pour vous ça va être un jeu d’enfant.

Sam : Mais mon général, et les missions en cours ?

Jack : Je vous ai laissé sur mon bureau la liste de toutes les équipes SG qui sont actuellement en missions, avec toutes les coordonnées et les heures de rentrées prévues.

Sam : Vous êtes sûr que je suis la bonne personne ?

Jack : J’en suis certain ! Et puis, je ne serais absent qu’un ou deux jours. Et vous avez mon numéro de portable.

Sam : Bon, à vos ordres mon général.

Jack : Ce n’est pas un ordre, c’est un immense service que je vous demande et je vous promets que je vous le revaudrais au centuple. Je peux donc compter sur vous et partir confiant ?

Sam : Vous pouvez monsieur !

Jack : Parfait.

S’il n’y avait pas eut tout ce monde dans le mess, Jack aurait pu serrer Sam dans ses bras tellement il avait l'air content et soulagé.

Jack : Allez Colonel, je vous laisse le bébé, je vous appelle de l'avion. Et merci encore !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:02

Jack partit en quatrième vitesse laissant une Samantha Carter figée sur place. Elle était en train de réaliser ce qu’elle venait d’accepter.
Daniel et Jonas arrivèrent à cet instant au mess pour prendre leur petit déjeuné. Ils virent Sam à une table l'air pensif.

Jonas : Colonel ? Vous en faite une tête, ça n’a pas l'air d’aller.

Sam : Oh Jonas ! Je ne vous avais pas entendu arriver.

Daniel : Oui Sam, Jonas a raison, tu as l'air préoccupée.

Sam : Vous croyez ? J’ai l'air préoccupée ? Non, je viens d’être nommée commandant de cette base. Le général a dû partir en urgence à Washington et je le remplace en attendant.

Daniel : Tu quoi ? Il t’a confié toute la base ?

Sam : N’en rajoute pas Daniel, je suis déjà assez en panique comme ça.

Jonas : Je suis sûr que vous allez y arriver, Sam. Si le général vous a choisi, c’est qu’il sait que vous êtes tout à fait capable de commander des troupes. Vous êtes bien à la tête de SG1.

Daniel : Et tu es un chef génial !

Sam : Parce que je te laisse faire tous les relevés que tu veux, c’est ça ? Merci tous les deux de me rassurer. Bon je dois aller dans mon nouveau bureau. Messieurs, j’ai une base à diriger !

Sam les salua et partit vers ses nouvelles fonctions. Elle arriva devant la porte, hésita un moment, prit une profonde inspiration et entra.
Elle alla directement s’asseoir au bureau. C’est alors qu’elle ressentit, l'espace d’un instant, un sentiment de puissance. Elle, colonel Samantha Carter, assise au fauteuil royal de général, et commandant du SGC. Elle se tenait bien droite, les mains tendues sur ce grand bureau et apprécia ce moment. Elle se détendit et commença à scruter un peu les quelques dossiers empilés à côté du téléphone. Le décor était assez sommaire sur le bureau. Seul un petit cadre retourné se cachait devant le pot à crayon. Sam le souleva et découvrit une photo de SG1 au complet, datant de la belle époque pensa-t-elle. Elle le plaça bien devant elle et se remémora le jour où avait été pris ce cliché. C’est la sonnerie du téléphone qui l'a fit sortir de ses pensées.

Sam : Carter ??

? : Alors Carter tout se passe bien ?

Sam : Ah mon général, oui, oui, tout va bien. Et vous, que se passe-t-il à Washington ?

Jack : J’arrive à la maison blanche là, je n’en sais pas plus que vous. Je voulais m’assurer que tout allait bien pour vous.

Sam : Bien monsieur, ne vous inquiétez pas, comme dirait Cassie, “ je maîtrise ”.

Jack : Parfait, alors je vous laisse, n’hésitez pas à appeler en cas de pépin.

Sam : Oui mon général, au revoir.

Elle raccrocha, se sentant finalement très bien dans ses nouvelles fonctions.

Sam : Allez ! ! Au boulot ma vieille ! !

Elle pris le premier dossier de la pile et commença la lecture d’un rapport de SG5. Au bout de 10 minutes, ce qu’elle craignait arriva.
Toc, toc, toc.

Sam : Oui Entrez !

? : Ah excusez-moi, j’ai dû me tromper de porte mon colonel.

Sam : Si c’est le général que vous cherchez, vous êtes au bon endroit.

? : Ah, heu, il n’est pas là ?

Sam : Je le remplace, qu’est ce que je peux faire pour vous ? Vous avez l'air paniqué.

? : Oui, heu, non, c’est à dire que je viens d’aller voir la liste que le général a affiché pour les affectations aux équipes SG, et je ne trouve pas mon nom.

Sam : Ah ? On va voir ça. Vous êtes ?

? : Sergent Culligan mon colonel !

Il se mit au garde à vous réalisant qu’il parlait à un colonel.

Sam : Repos sergent, asseyez-vous !

Culligan : Oui mon colonel !

Sam commença à farfouiller dans des dossiers et trouva la feuille d’affectation.

Sam : Je me souviens bien de votre évaluation sergent ! Alors voyons voir C, CU, Culligan voilà. En effet, on ne vous a pas affecté à une équipe SG.

Culligan : J’ai échoué aux évaluations c’est ça ?

Sam : Je ne dirais pas que vous avez échoué, mais il est vrai que vous n’avez pas encore les capacités nécessaires pour intégrer les équipes de terrain. Avec le général, on a pensé à vous affecter à la base même.

Culligan : Je suis quand même admis au SGC ?

Sam : Oui, en attendant les prochaines sessions d’affectation, vous serez au PC principal de la porte des étoiles.

Culligan : Merci mon colonel.

Sam : Vous n’avez pas à nous remercier. Vous voilà rassuré sergent ? Pas d’autres questions ?

Culligan : Non mon colonel !

Sam : Vous pouvez disposer !

Le cadet se leva et sortit du bureau. Sam fut soulagée d’avoir mené à bien sa première mission. Elle se sentait de plus en plus à l'aise. Elle se replongea dans sa paperasserie et fit des merveilles à son poste de commandante du SGC. En une journée à peine, elle venait de rattraper deux semaines de retard dans le classement des rapports de missions.

Sam : Décidément, il n’aime vraiment pas le travail de bureau.
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:06

Pendant ce temps à Washington.

Président : Vous comprenez ma position, général, je suis obligé d’agir.

Jack : Je comprends monsieur, mais laissez-nous un peu de temps pour éclaircir cette affaire.

Président : Le message est clair, si on ne lui verse pas 10. 000. 000. $, il révèle au grand jour tout le projet Stargate.
Lieutenant Colonel Davis : Quand les Russes ont appris l'existence de la porte, nous n’avons pas cédé à leur chantage monsieur. Et avec un peu d’effort diplomatique, on leur a permis de faire le propre projet.

Président : Mais nous savons ce qui s’est passé ensuite.

Jack : Monsieur le président, avec tout le respect que je vous dois, ce n’est pas la première fois que nous avons une petite fuite. Si on retrouve ce petit malin, on pourra savoir comment il a tout découvert sur le SGC.

Président : Je crains que nous n’ayons pas le temps. Ce maître chanteur a dit que s’il ne recevait pas l'argent sous 48 h 00, non seulement il révèle au pays l'existence du SGC, mais il le détruira également.

Davis : Mais est-on sûr qu’il connaisse vraiment le projet ? Peut être ne sait-il qu’une infime partie ?

Président : C’est ce que nous avons pensé au début, mais il nous a fait parvenir un dossier complet avec tout le travail du SGC décrit dans les moindres détails, le nom des équipes, le personnel de la base, tout, il sait tout.

Jack : C’est qu’il y a une taupe au SGC. Il suffit de la démasquer.

Président : Et bien si vous arrivez à le démasquer avant le délai imparti... Je vous donne carte blanche. Mais passé ce délai, je communiquerais moi-même à la nation l'existence du projet Stargate.

Davis : On est déjà au travail monsieur.

Président : Tenez-moi informé de la situation messieurs !

Jack : Oui monsieur le président.

Jack et le lieutenant colonel Davis sortirent du bureau ovale, laissant un président et ses conseillers dans l'expectative.

? : Vous pensez qu’ils vont y arriver ?

Président : Je l'espère Mike, je l'espère.

Dans le jet qui les ramenait à Cheyenne Mountain, Jack et Davis essayèrent de faire des regroupements pour déterminer un employé qui pourrait être la taupe.
Ils ne voulaient pas non plus attirer l'attention sur eux, et Jack décida de ne pas prévenir Sam avant son retour à la base.

Jonas et Daniel étaient installés dans leur bureau. La traduction d’une tablette trouvée lors de leur dernière mission leur donnait pas mal de difficultés.

Daniel : Je ne vois vraiment pas ce que ce symbole signifie.

Jonas : Oui, moi non plus, je sèche totalement mais pourtant je suis sûr de l’avoir déjà vu quelque part.

Daniel : Oui moi aussi, il m’est familier mais je ne me souviens pas où je l'ai vu.

Ils réfléchissaient quand tout à coup.

Jonas : Je sais... Bon sang, c’était sous nos yeux !

Daniel ne comprenait toujours pas.

Jonas : Daniel ! ! ! Les zats ! ! !

Tout à coup une illumination frappa le docteur Jackson.

Daniel : Mais bien sûr! Jonas, vous êtes un génie.

Jonas : Non, je me suis souvenu c’est tout. Je vais aller en chercher un à l'armurerie pour comparer.

Daniel : O.K, je vous attends.

Jonas partit donc. Il emprunta les différents couloirs de la base et arriva enfin devant la porte de l'armurerie. Il prit son badge et s’apprêta à l'insérer dans la fente d’ouverture automatique.

Jonas : Tiens ? ? Le système ne fonctionne pas, on dirait.

En effet, aucun voyant n’indiquait que le dispositif était sous tension. Il tourna la poignée et la porte s’ouvrit d’elle-même. Il pénétra dans la pièce et se dirigea vers les casiers à zats.

Jonas : Mais ... Oh ! ! ! Merde ! ! !

Il sortit en trombe de la petite pièce et fonça directement au bureau du général. Hors d’haleine (et oui ils sont longs les couloirs du SGC), il arriva devant la porte qu’il ouvrit d’un coup, faisant sursauter le colonel Carter qui dormait presque devant sa montagne de dossier.

Jonas : Sam ! ! Dans l'armurerie ! ! Il y a... une... bombe ! !

Sam : Quoi ? ! ! Qu’est ce que vous me racontez là ?

Jonas : J’en viens, je voulais prendre un zat pour comparer des symboles, et en arrivant, le système de sécurité ne marchait pas. Je suis entré et là, en plein milieu, dans les casiers, il y a une minuterie. Il nous reste 54 minutes.

Sam se leva d’un bond et partit à son tour au pas de charge, suivi de Jonas, toujours autant essoufflé. Ils arrivèrent à l'armurerie et Sam constata que la bombe était bien là. 50 minutes de répit.

Sam : Oh bon sang! ! Merde! ! Mais ce n’est pas vrai ça ! ! Pourquoi le jour où je suis responsable de cette base ?! Bon Jonas, sonnez l'alarme !

Il tira sur le signal d’alarme. La lumière s’éteignit, bientôt suivi par une sirène retentissante. Les gyrophares rouges éclairaient à présent tous les couloirs, et un ordre d’évacuation sortait des hauts parleurs.
Sam prit ensuite un des téléphones de secours et demanda instamment aux démineurs de se rendre à l'armurerie.
A l'annonce de l'évacuation, toute la base commença à se vider et à se réfugier en dehors du complexe. Au bout de quelques minutes seulement, seuls le colonel Carter, deux démineurs, Jonas, Daniel et Teal’c restaient présents devant l’armurerie.
Teal’c et Daniel en entendant l'ordre d’évacuation, étaient parvenus à localiser Sam et Jonas.

Démineur 1 : C’est une bombe de fabrication artisanale.

Sam : Et vous pouvez la désamorcer ?

Démineur 2 : Je pense que oui.

Daniel : Vous pensez ?

Démineur 2 : Restez calme Docteur Jackson, on connaît notre boulot.

Daniel se tut, mais restait tout de même perplexe. Sam, elle, était concentrée sur ses responsabilités et essayait de se rappeler tout le protocole d’urgence du règlement militaire, quand son portable vibra. Elle décrocha machinalement.

Sam : Oui allô ?

Pete : Sam, c’est moi, tu vas bien ?

Sam : Pete ? Ah non ce n’est pas le moment là, je dois te laisser !

Et elle lui raccrocha au nez.

Jonas : Un problème Sam ?

Sam : Plus maintenant.

Démineur 1 : Voilà, encore ce petit fil à couper et se sera fini.

Teal’c : Vous êtes sûr ? Ce fil semble être relié à...

Démineur 1 : Mais est ce que vous allez nous laisser faire notre job oui !

Les deux démineurs coupèrent le fil et...

Démineur 2 : Oh, oh !

Sam : Quoi oh, oh ?

Démineur 1 : Finalement, c’est de l'artisanat un peu plus poussé que je ne pensais.

Démineur 2 : Il y avait un mécanisme de secours.

Teal’c : Je vous l'avais dit que ce fil était relié à...

Démineur 1 : Oui, oui ça va ! Ce n’est rien, la minuterie a juste fait un bond d’une demi-heure.

Daniel : Donc il ne nous reste plus que 15 minutes avant le boom ?

Sam : Non, non, pas de boom, messieurs, je vous prierais de vous activer un peu.

Démineur 2 : Ce n’est rien, il suffit de déconnecter ceci, de couper cela et... voilà, cette fois c’est bon.

En effet, le cadran s’éteignit et le tic tac s’arrêta.

Sam : Emmenez-moi ça ailleurs et vérifiez s’il n’y a pas d’empreintes !

Daniel : Tu penses que c’est quelqu’un de la base ?

Sam : Je ne pense rien du tout, mais je ne veux écarter aucune éventualité.

Tout le monde eut un soupir de soulagement en voyant s’éloigner les démineurs avec leur fardeau.
Sur la route qui menait à Cheyenne Mountain, le général O’Neill et le major Davis discutaient toujours de l'identité du maître chanteur. Aux abords du tunnel d’entrée de la base, Jack plissa les sourcils.

Jack : Mais qu’est ce qu’ils font tous dehors ?

Davis : Vous aviez prévu un exercice d’évacuation ?

Jack : Non, ça ne me dit rien qui vaille.

La Jeep se gara devant l'entrée du tunnel et Jack en descendit le premier. Il s’avança vers un garde.

Jack : Mais qu’est ce qui se passe ici ?

Garde : Mon général, nous avons reçu l'ordre d’évacuer la base !

Jack : Et pourquoi donc ?

Garde : Heu, je ne sais pas monsieur, je croyais que l'ordre émanait de vous !

Jack regarda vite fait autour de lui, l'air songeur.

Jack : Colonel !! Venez avec moi, on va voir ce qui se passe ici !

Davis : L'alarme vient de s’arrêter, on dirait.

Jack : Trouvons vite Carter ! J’ai un mauvais pressentiment !

Ils pénétrèrent dans le complexe et descendirent directement au niveau de la salle de contrôle.

Jack : Les couloirs sont verrouillés ! Mais bon sang qu’est ce qui se passe ici ?

Davis : Regardez général, sur l'écran de contrôle, le colonel Carter est à l'armurerie !

Jack : On y va !

Ils partirent au pas de course, et ouvrirent une à une les portes des couloirs. Arrivés à hauteur d’un croisement, un télescopage se produisit.

Sam : Aïe ! !

Jack : Outch ! ! Carter ? Ca va, pas de bobos ? Mais qu’est ce qui se passe ici ?

Aidée de Jack, Daniel et Jonas, elle se releva un peu chancelante.

Sam : Mon général, vous tombez bien !

Jack : Mais est-ce que quelqu’un va me dire ce qui se passe ici ?

Jonas : J’ai trouvé une bombe dans l'armurerie et...

Jack : Une bombe ? ? Ici ? ?

Teal’c : Elle est désamorcée, O’Neill !

Sam fit un résumé complet de la situation qui laissa le général O’Neill très calme.

Daniel : Tu n’as pas l'air surpris ?

Davis : On revient de la maison blanche et ce que vous nous apprenez là semble en parfaite concordance avec les récents événements.

Sam : Et quels sont ces récents événements ?

Ils partirent tous dans le bureau de Jack qui leur expliqua toute la situation !

Jonas : Tout se tient en effet, à part la bombe !

Daniel : Jonas a raison, la minuterie était prête à exploser, alors que le maître chanteur avait donné un délai de 48 heures !

Jack : C’est sans doute un pressé ! Je suis persuadé que nous avons à faire à la même personne !

Davis : Mais à l'heure qu’il est, il doit croire que son plan a fonctionné et que le SGC est réduit en miette !

Sam : Sauf si effectivement, il s’agit bien d’une taupe infiltrée, il a entendu l'ordre d’évacuation et se doute qu’on a trouvé la bombe, de plus, aucune explosion n’a eut lieu ! Il ne doit pas être assez bête pour être parti sans vérifier si son plan a marché !

Jonas : J’ai vu souvent ça dans vos films, il va sûrement téléphoner pour demander sa rançon et pour nous menacer d’autre chose !

Teal’c : Peut être devrions nous vérifier l'identité de tous les employés et des visiteurs de la base ?

Jack : Ca prendrait trop de temps et on n’a aucun moyen d’identifier la taupe si elle fait partie du personnel depuis déjà longtemps ! Je vais...

Il fut interrompu par la sonnerie du téléphone.

Jack : O’Neill, j’écoute !

? : Alors comme ça vous avez trouvé mon petit cadeau ? J’avoue que vous m’avez surpris.

Jack : Qui êtes-vous ? Et qu’est-ce que vous voulez ?

? : Qui je suis ? Peu importe, par contre ce que je veux, ce sont mes 10. 000. 000 de dollars ! Vous avez vu que je ne plaisantais pas ! Si je n’ai pas la somme d’ici demain, cette fois vous n’aurez pas de seconde chance en désamorçant l'autre petit cadeau que j’ai déposé au SGC ! Et ce n’est pas la peine de fouiller toute votre belle base, vous ne la trouverez pas ! Au revoir Jack ! Clic...

Sam : C’était lui ?

Daniel : Jack, qu’est-ce qu’il y a, tu es tout pâle !

Jack : On a un sérieux problème !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:12

Une heure plus tard, la fouille complète de la base commença. A la nuit tombée, il fallait bien se rendre à l'évidence, ils ne trouveraient pas la bombe à temps !

Sam rejoignait Jack à son bureau quand son portable vibra !

Sam : Allô ?

Pete : Sam ? Tu vas bien ?

Sam : Pete ? La dernière fois que je t’ai eu, tu m’as raccroché au nez !

Pete : Je suis désolé ma chérie, j’étais un peu sur les nerfs !

Sam : Il me semblait que j’avais été claire, nous deux c’est terminé.

Pete : Allons Sam, tu ne sais pas ce que tu dis ! Tu vas voir, je vais changer et t’offrir une vie de rêve ! Rejoins-moi à Paris !

Sam : Tu recommences avec tes délires là ! Pourquoi veux-tu absolument que je parte du SGC !

Pete : Si tu pouvais me faire confiance des fois, et arrêter de toujours poser des questions, ce serait cool tu sais !

Sam : Bon tu m’excuses mais j’ai du travail là ! Quand tu auras fini tes divagations, je te parlerais !

Elle raccrocha et ferma son téléphone, l'air très songeuse !

Sam : Non Mais vraiment, qu’est-ce qu’il lui prend ? Pourquoi veut-il que je quitte le SGC ? Ma sécurité ? Non, ça ne se peut pas ? Sam arrête, tu divagues toi aussi !

Elle frappa à la porte du général qu’elle trouva très pensif.

Jack : Alors ?

Sam : Toujours rien mon général !

Jack : J’ai appelé le président, il réunit la somme en ce moment même ! On a vaincu des grands maîtres goa’ulds, survécus à milles épreuves et là, un simple maître chanteur décide de notre sort ! Je sens que quelque chose nous échappe !
Rentrez chez vous, vous reposer un peu, on y verra sûrement plus clair demain matin !

Sam : A vos ordres ! Vous êtes sûr que ça va aller ?

Jack : La nuit porte conseil ! Bonne nuit, colonel !

Sam rentra chez elle, très pensive, une théorie l’obsédait !

Lendemain matin

Après une nuit songeuse, où elle n’avait pas fermé beaucoup l’œil, une évidence était venue se forger dans son esprit ! Elle-même n’arrivait pas à y croire mais elle sentait que son intuition était exacte !
Prenant son courage à deux mains elle décida de partir chez Jack pour lui exposer la situation en privé !
Arrivée devant la porte, elle hésita à sonner ! Pour qui allait-il la prendre ? Une folle certainement, mais tant pis, il fallait qu’elle le lui dise !
Juste à ce moment là, la porte s’ouvrit !

Jack : Carter ?? Qu’est-ce que vous faites là ?

Sam bredouilla une phrase qui ressemblait à un « je passais dans le coin alors… », mais se décida d’un coup à parler franchement !

Sam : Heu, je sais que c’est complètement idiot mais je voudrais vous parler de quelque chose en rapport avec notre maître chanteur !

Jack : Et ça ne pouvait pas attendre que j’arrive à la base ?

Sam : C'est-à-dire que, en fait, je me suis dis que c’était tellement bête qu’il fallait que je vous le dise en privée !

Jack : Rien n’est idiot quand ça sort de votre bouche, Carter. Entrez donc !

Un peu gênée et confuse, elle lui raconta ses deux conversations téléphoniques avec Pete.

Sam : Je vous l'ai dis, que c’était idiot mais d’un autre côté, plus j’y pense et plus j’ai des doutes ! J’ai réfléchi toute la nuit et …

Jack : Ecoutez Carter, je vais pas me mêler de vos problèmes de couples mais je crois simplement que Pete essaye par tous les moyens de recoller les morceaux et...

Sam : Je vous assure que ce comportement est extrêmement
anormal chez lui !

Jack : Admettons, mais pourquoi voudrait-il faire sauter la base, révéler au monde l'existence de la porte et réclamer 10.000.000 $

Sam : Je crois qu’il ne supporte pas que je passe mon temps ici, donc si il n’y a plus de base, ce problème est réglé ! D’autre part, Pete est, comment dire, jaloux de… vous.

Jack : Jaloux de moi et pourquoi donc ?

De plus en plus gênée, Sam ne savait pas si elle devait tout lui dire !

Sam : Il croit que je, enfin que vous et moi... Enfin vous voyez quoi ?

Jack : Ohhhh ! Ca ?? Oui je vois. Enfin non je ne vois pas mais, pourquoi 10.000.000$ ?

Sam : Je ne sais pas il a dû dire ça au hasard !

Jack : J’ai quand même de sérieux doutes.

Sam : Il y a encore quelques heures je me disais aussi que c’était impossible et plus je réfléchis, plus je comprends tout son comportement depuis quelques jours ! D’abord, il part en mission en Europe, qu’est ce qu’un flic américain irait faire à Paris, ensuite il veut que je quitte la base au plus vite pour ma sécurité, il sait qu’il va y avoir une explosion, et enfin il veut m’offrir une vie de rêve, il demande une rançon ou il raconte tout ! Vous disiez que le maître chanteur avait envoyé au président tous les dossiers du personnel de la base, les rapports de missions etc. Pete a pu fouiner dans la base! Tout se tient

Jack : C’est sûr que vu sous cet angle… mais quand même, on ne fait pas sauter une base juste par jalousie !

Sam : Vous croyez ? Par jalousie, je crois qu’on est capable de tout !

Jack : Carter, va falloir mieux choisir vos petits amis !

Reprenant son sérieux, Jack se mit à réfléchir à un plan. Il n’était pas sûr que Pete soit effectivement le maître chanteur, mais essaya de l’envisager !

Jack : Carter, hum, je sais que ça à dû être dur pour vous de venir me parler de ça et je vous remercie de votre franchise.

Sam : Tout ce qui peut faire avancer l’enquête est important !

Jack : Ca va aller ? Je veux dire, pour vous ? Vous aviez des projets avec Shanahan ?

Sam : C’est étrange, mais je me sens comme soulagée. Tout est allé si vite que je crois que je ne me suis pas rendue compte. Pete n’est pas celui que je veux de toute manière !
Mais ça ne va pas de lui dire ça ! Qu’est ce qui t’a prit ! Pour qui va-t-il me prendre ?

Jack resta interdit fasse à cet aveu, mais sentant que Sam était au bord de la combustion spontanée, il fit comme si de rien était.

Sam : Je ne vais pas vous embêter plus longtemps avec mes histoires, je file au SGC !

Jack : Attendez deux petites secondes, je pars avec vous !
Mon petit Jack, il serait dommage de ne pas s’infiltrer dans la brèche !

Elle lui fit son magnifique sourire quoiqu’un peu crispé et sortit de la maison pour l’attendre dehors dans sa voiture. Jack la regarda s’éloigner quelques instants, un sourire naissait aussi sur ses lèvres. Il décida de suivre la théorie de Carter et de creuser la piste Pete Shanahan, après tout, c’est en suivant ses idées qu’ils s’étaient sortis des missions les plus périlleuses.
Ils avaient un avantage en connaissant l'identité du maître chanteur.
Ils partirent pour la base. Dans la voiture, la conversation eut du mal à démarrer mais très vite, la tension retomba et Jack osa entamer le sujet Pete ! A sa grande surprise Sam était disposée à parler un peu de sa vie privée !
Arrivés à la base, ce sont 8 années de tensions qui s’étaient comme évaporées ! Ils savaient où ils en étaient à présent, à l’un ou à l’autre de faire le premier pas !

Même moment, quelque part en Amérique.

?: Bon, tout s’est passé comme prévu ?

?: On a eu un petit souci, il semblerait que nous ayons sous-estimé nos adversaires, mais tout est réglé à présent !

?: Parfait, continuer le plan ! On se contact dès réception de l’argent !

?: C’est comme si c’était fait !

Base de Cheyenne Mountain.

A peine arrivés, Sam courut à son labo pour consulter son ordinateur, tandis que Jack arpenta un couloir pour passer un coup de téléphone au président !

Walter : Mon général, je vous cherchais, on vient de déposer ça pour vous !

Jack : Merci sergent !

Il prit son paquet et se dirigea vers son bureau ! Tout en continuant son chemin il ouvrit le colis et fut stoppé net dans son élan ! Il resta muet devant le contenu.
Reprenant ses esprits, il héla Walter !

Jack : Sergent, qui a déposé ça ?

Walter : C’est arrivé avec le courrier de ce matin mon général ! Un problème ?

Jack : Oui un gros, euh sergent, pas un mot de tout cela !

Jack relu le courrier, des frissons lui passaient dans le corps ! Devait-il montrer ceci à Sam ! Après tout, cela la concernait directement, enfin c’est ce qu’il pensait ! Mais il allait l’affoler, non, il était là pour elle de toute façon, il saurait la protéger ! Il fonça au labo !

Sam : Mon général, vous en faites une tête ! Que se passe-t-il ?

Jack : Je viens de recevoir ceci, et je voulais vous le montrer ! Ce n’est pas dit clairement mais je crois bien que cela vous concerne. Je préfère vous le montrer ! Je crois que nous avons à faire à quelqu’un de très professionnel !

Jack lui tendit le paquet ! Elle l’ouvrit et découvrit un petit cercueil tout noir avec une croix blanche peinte dessus !

Sam : Mais, qu’est ce que c’est que ça ? Qui a pu envoyer une horreur pareille ? Pourquoi dites-vous que ça me concerne ?

Jack : Ouvrez-le, la surprise est dedans !

Elle ouvrit le cercueil miniature et trouva une rose noire entourée d’une petite feuille de papier ! Elle le déroula, lut le mot et s’affala sur la chaise.

Jack : Je ne laisserais personne vous faire de mal, on va découvrir celui qui s’amuse à faire ça et je peux vous promettre qu’il ne va pas sortir indemne une fois que je me serais occupé de lui !

Sam relut le mot, comme pour s’en l’imprégner ! Bizarrement elle ne ressentait aucune peur ! Elle n’avait pas l’impression d’être visée par ce mot ! Et même si c’était bien elle, comment pourrait-il lui arriver quelque chose dans la base, avec le général et tous les soldats ? Non, elle le relut encore mais n’était pas inquiète, au contraire, ce qu’elle lisait lui plaisait !




O’Neill, si je n’ai pas mon argent sous 24 heures,

la première à partir dans ce cercueil sera ton joli

colonel, si précieuse à tes yeux ! Quand je me

serais occupé d’elle, tu n’auras plus que des

morceaux à pleurer !


N’oublie pas, 10.000. 000 $, ou sinon……………




Sam : Vous êtes sûr que c’est de moi qu’il s’agit ?

Jack, tout gêné, venait de se rendre compte de ce qui était écrit sur lui dans ce mot ! Ce n’était pas explicite certes, mais des jolis colonels si précieux à ses yeux, il n’y en avait pas 36 ! Voilà une occasion qu’il ne fallait pas manquer !

Jack : Euh Carter, voyez-vous, je ne connais qu’un seul colonel, qui soit si belle et qui serait si précieuse à mes yeux !

Cette fois c’est Sam qui se trouva dans un embarra extrême ! Elle décida néanmoins de profiter de la situation ! Après tout, ce genre d’occasion ne se représenterait peut être pas !

Sam : Vous me trouvez belle ?

Jack : Beaucoup plus que ça même !

Sam : Et je suis si précieuse que ça à vos yeux ?

Jack : Plus que ma vie !

Sam : Est-ce que je dois comprendre ce que je pense comprendre ?

Jack : Je pense que tu as parfaitement compris, en effet ! Mais est-ce que c’est réciproque ?

Sam : Moi je dirais qu’il y a aussi dans cette base un général que je trouve plus que beau et qui est également plus précieux que ma vie !

Jack : Alors je dois aussi comprendre ce que je pense comprendre ?

Sam : Je pense aussi que tu as parfaitement compris, et qu’on est vraiment pas très doués pour se dire quelque chose que je sais pour ma part depuis près de 9 ans !

Jack : 9 ans également que je pense la même chose ! Mais là où je ne suis pas doué avec les mots, je peux me rattraper par le geste !

Il s’avança près d’elle, lui effleura les lèvres avec son pouce, elle sentit ensuite la chaleur de sa main sur sa joue et ferma les yeux un instant quand elle sentit son souffle chaud près de sa bouche ! Non elle ne rêvait pas ! Elle avait imaginé des millions de fois comment franchir cette barrière entre eux, mais jamais elle n’avait pensé à celle là ! Comme si naturellement, ce qui devait arriver, arrive finalement sans crier garde ! Elle rouvrit les yeux et le vit fondre sur elle, prêt à l’embrasser. Comme si elle ne pouvait plus attendre encore et encore qu’il fasse le premier pas c’est elle qui le devança et qui captura ses lèvres. Surpris au premier abord qu’elle prenne l’initiative, il savoura ensuite ce moment magique. Il entrouvrit ses lèvres, et puis c’est lui qui prit enfin la direction des opérations. Le baiser d’abord chaste se transforma en un tourbillon brûlant, où leurs langues se mélangèrent dans une symbiose totale !
Se séparant presque à regrets, pour reprendre leur souffle, ils n’eurent pas besoin de parler tant leurs yeux exprimaient l’amour qu’ils se portaient !
Pendant ces quelques minutes, plus de SGC, de maître chanteur, ou de règlement n’existaient.
Mais l’alarme de la base les remit sur terre !

Jack : Qu’est ce qui se passe encore ! Y a vraiment pas moyens d’être tranquille 5 minutes ici !

Sam : Il doit y avoir un problème et je suis prête à parier qu’il y a un rapport avec ce charmant petit cadeau que vous m’avez apporté ! Je crois que les affaires reprennent !

Jack : Justement ce mot n’a pas l’air de vous contrarier ?

Sam : Depuis quand s’abaisse-t-on à ce genre de menace !

Il lui jeta un regard complice plein de tendresse et lui fit une petite grimace avant d’ajouter.

Jack : Je n’en ai pas fini avec vous colonel ! Nous reprendrons là où nous en sommes restés avec une discussion hautement importante !

Sam : Mais j’y compte bien, monsieur !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:18

Avant de s’élancer dans le couloir, il lui vola un baiser, comme pour se donner le courage d’affronter encore une catastrophe et pour s’assurer du fait qu’il n’avait pas rêvé. Sam elle se sentait partir à l’aventure dans une sérénité incroyable ! Le général O’Neill, Jack, son Jack, était près d’elle à jamais !
En chemin ils tombèrent sur Daniel et Jonas ! Inséparable ces deux là, depuis qu’ils s’étaient découverts plein de points communs !

Daniel : Vous savez ce qui se passe encore ?

Jack : Bonjour Daniel ! Non nous ne savons rien, mais comme tu vois, on va aux nouvelles !

Jonas : Je n’ai pas eu le temps de regarder le temps d’aujourd’hui, mais je sens que ce matin c’est tempête sur Cheyenne Mountain !

Jack : Jonas, si vous essayer d’être drôle….. C’est réussi, mon vieux !

Sam : Messieurs, je ne voudrais pas vous presser mais….

Sur ce, ils repartirent au pas de course vers la salle de contrôle. Arrivés là-bas, ils ne virent rien qui ressemblait à un problème !

Jack : Sergent ??? C’est vous qui avez activé l’alarme ? Qu’est-ce qui se passe ?

Walter : Oui mon général, il y a eu une activation non programmée de la porte, le vortex est resté ouvert 10 bonnes minutes mais personne ne nous a contactés ! Aucun impact n’a été ressentit sur l’iris, rien ! Je voulais vous prévenir par haut-parleur, mais il ne marche plus, on dirait ! Alors j’ai déclanché l’alarme !

Sam : Comment ça le haut-parleur ne marche plus ?

Walter : Allez vérifier par vous-même, colonel !

Sam : Oui je vais allée voir ça !

Jack : Attendez une minute Carter, qu’est-ce que vous pensez qu’il se soit passé avec la porte ?

Sam : À dire vrai, je ne sais pas trop, quelqu’un a sûrement voulu nous contacter mais a changé d’avis ?

Walter : Les coordonnées de cette planète ne figurent nulle part dans la base de donnée ! C’est une planète inconnue !!

Daniel : Et vous dites qu’il n’y a rien eu, même pas une fréquence radio, une onde ou quelque chose dans ce genre ?

Walter : Non docteur Jackson, c’est pour ça que cela m’a parut étrange !

Jack : Bon, je dirais qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer, s’ils veulent nous contacter, ils recommenceront ! Colonel, allez voir ce haut-parleur, je vous envoie Siller en cas de besoin !

Sam : Ca va aller mon général, merci !

Sam partit en lui faisant son plus beau sourire !

Jack : Comment je peux résister à ça moi ?!

Jonas : Qu’est ce qu’on fait alors ?

Jack : Et bien, retournez donc à vos traductions, briefing sur votre prochaine mission dans 2 heures ! Sergent, c’est du bon travail !

Walter : Merci monsieur. Je vais rejoindre le colonel Carter et voir en salle de surveillance si les ordinateurs ont capté quelque chose !

Jack : C’est ça, faites donc ça…

Tous repartirent vers leurs besognes respectives ! Jack contempla son bureau vidé de tous ses dossiers en attentes ! Il pensa que Sam, sa Sam, était un don du ciel ! Sam elle, examinait en long et en large le haut-parleur, mais n’y trouvait aucune panne !

Walter : Colonel ?? Vous avez trouvé ce qui clochait ?

Sam : Ah sergent, je ne vous avais pas entendu entrer ! Euh, et bien non, je ne vois pas ce qui a pu se passer ! Vous êtes sûr qu’il ne fonctionnait pas ?

Walter : Eh bien maintenant que vous me le dites, il se pourrait bien, que ce haut-parleur n’ait jamais cessé de marcher !

Sam : Pardon ?? Vous, vous fichez de moi sergent ?

Walter : Oh non je n’oserais pas me foutre de la gueule du grand, et de l’illustre colonel Carter !

Sam : Non mais ça ne va pas ? Vous, vous sentez bien là ? Je vous prierais de surveiller vos paroles, vous oubliez à qui vous vous adressez, sergent !

Walter : Justement non, je sais parfaitement à qui je parle ! Mais par contre, vous, je crois que vous ne savez pas à qui vous vous adressez ! Alors, maintenant, c’est moi qui commande et vous qui la bouclez !

Sam n’en cru pas ses oreilles ! Elle resta un moment figée sur place ! Non ça ne pouvait pas être Walter ?

Walter : Et bah, on dirait que vous avez vu un fantôme ? Vous pensez que tout ceci est dingue n’est ce pas ?

Sam retrouva ses esprits et un peu de contenance !

Sam : Qu’est-ce que vous voulez au juste ? C’est vous le maître chanteur c’est ça ?

Walter : Mais quelle perspicacité dites donc ! Je vois qu’O’Neill a eu raison de faire de vous sa remplaçante attitrée ! Et plus peut-être ?

Sam : Vous allez arrêter ce petit jeu maintenant, ou je sonne l’alerte !

Walter : Ah, j’ai dû omettre un détail : vous n’êtes plus tellement en position d’exiger quoi que ce soit !

En effet, Sam n’avait pas remarqué que le sergent avait une arme à la ceinture et un zat caché dans son dos !
Il pointait désormais le zat sur elle et l’expression de son visage laissait à penser qu’il n’hésiterait pas à s’en servir !

Sam : Ecoutez sergent, je ne crois pas que vous soyez ce genre de type ! Vous êtes un gentil garçon ! On a sûrement dû vous monter la tête ! Si vous arrêtez tout maintenant, vous pouvez encore vous en sortir !

Walter : Mais vous ne comprenez rien ! Je sais parfaitement ce que je fais ! Des mois que je prépare cette opération et par votre faute, je dois changer mes plans !

Voyant l’incompréhension dans les yeux de Sam, le sergent perdait de plus en plus son calme, il sortit son pistolet de sa ceinture et le pointa sur Sam !

Walter : Bon ça suffit maintenant ! Vous m’avez fait perdre assez de temps comme ça ! Prenez le micro du haut-parleur et appelez O’Neill !

Sam : Et si je refuse ?

Walter : Je mettrais à exécution un plan que j’ai communiqué à O’Neill !

Sam : C’était donc bien à moi qu’elle était destinée cette menace ?

Walter : Je vois qu’il vous montre vraiment tout ! Allez, prenez le téléphone et demandez au général de venir en salle de surveillance !

Sam : Vous voulez qu’il vienne ici ? Vous n’êtes pas très malin !

Walter : Arrêtez de faire votre maligne, ça ne prend pas avec moi !

Sam prit le téléphone à la vue de ce pistolet se pointant directement entre ses deux yeux !

Sam : Le général O’Neill est demandé en salle de surveillance ! Je répète, le général O’Neill est demandé en salle de surveillance !

Walter : Bien, vous voyez quand vous voulez !

Sam : Pourquoi est-ce que vous faites ça ? Ca ne ressemble pas au gentil sergent Harriman que je connais !

Walter : Parce que vous croyez que vous me connaissez ? Bientôt 8 ans que je suis derrière mes écrans de contrôle, et vous ne connaissez rien de moi !!

Sur les écrans de télé, la silhouette du général s’approcha de la pièce.

Walter : Ah le voilà ! Vous, vous bouger un cheveux, et je tire !

Sam : Vous pouvez encore tout arrêter, sergent !

Walter : J’ai dit la ferme !!!

Jack arriva sur le seuil de la porte et tourna la poignée. Il entra et trouva Sam assise sur un siège devant un écran de contrôle !

Jack : Qu’est-ce qui se passe ?? Vous m’avez fait appeler ?

Sam ne bougea pas, et aucun son ne sortait de sa bouche.

Jack : Oh, Oh Sam ??

Walter : Elle ne dira rien ! Vous, vous retournez gentiment, et vous vous asseyez à côté d’elle !

Jack fit volte-face, visiblement très surpris de la personne qui le tenait en joue, il eut un regard de stupeur ! Passé le choc, il s’assit sur le fauteuil vide à côté de Sam et dévisagea Walter.

Jack : Walter?? Je peux savoir à quoi vous jouez ??

Walter : Mais on ne joue pas ici ! Je vous attendais justement !

Jack commença à façonner son sourire, et se tourna vers Sam.

Jack : Vous voyez Carter, il y a encore 5 minutes, je me faisais tout un plan pour éliminer notre maître chanteur et voilà que si je ne me trompe pas il est en face de moi ! Décidément être général ici, ce n’est pas de tout repos ! Je vais peut-être songer à prendre ma retraite, ce n’est plus de mon âge tout ce cirque !

Walter : Ne commencez pas votre petit numéro, je le connais par cœur et il ne prend pas avec moi ! Et vous colonel, cessez ce petit sourire ! Maintenant que vous êtes là, on va pouvoir discuter !

Jack : Laissez moi deviner, vous voulez savoir ou en sont vos 10.000.000 $ ! J’ai pas pu passer à ma banque ce matin et …

Jack fut interrompu par le coup parti du pistolet !

Jack : Mais ça va pas bien non !! C’est passé à un cheveu de ma jambe !

Walter : Je crois que vous n’avez pas bien compris la situation ! Vous n’êtes pas en mesure de décider de quoi que ce soit ! Ne me prenez pas pour un rigolo, je prépare ce coup depuis assez longtemps !

Sam : Justement, moi j’aimerais comprendre pourquoi vous faites ça ?

Walter : Je vous croyais plus intelligente que ça colonel Carter !

Sam : Désolée de vous décevoir ! Mais j’ai vraiment du mal à vous comprendre !

Walter : Vous ne comprenez donc pas ? 8 ans que je suis considéré comme la boniche ! « Sergent, ouvrez l’iris », « sergent fermez l’iris » ! « Activation non programmée de la porte des étoiles », « chevron 7 enclenché et verrouillé », « sergent envoyez le MALP », « on reçoit une transmission, c’est SG1 » et j’en passe… ! En tout ce temps, j’ai vu tous les soldats de cette base avoir des promotions ! Vous colonel, vous êtes passé de capitaine à colonel, vous O’Neill, de colonel à général, et qu’est-ce que vous avez fait de plus que moi hein ??? Comme vous, je suis en première ligne en cas d’attaques, je ne vais peut-être pas sur d’autres planètes, mais je suis tout aussi méritant que certains ici ! Et ça, personne ne le voit ! Tout le monde me voit comme le gentil petit Walter qui ouvre les vortex ! Mais le petit Walter il en a marre ! Lui aussi il aurait aimé avoir un peu de considération et être écouté comme l’était SG1 ! Oh je ne demandais pas d’être un mythe vivant comme les 4 membres de SG1, non, je voulais simplement exister !

Jack et Sam regardaient à présent le sergent Harriman avec peine ! Ils se rendaient compte qu’effectivement il ne s’était jamais plaint de quoi que ce soit, qu’il était le sergent préposé à la salle de contrôle, et c’est tout ! Jamais ils n’avaient pensé qu’il était si mal !

Jack : Je crois que je vous comprends ! Je vais faire ce qu’il faut pour que vous soyez élevé en grade.

Walter : Je ne veux pas de votre pitié, c’est trop tard ! Pour la première fois de ma vie, j’ai senti de l’exaltation en préparant ce coup ! J’ai écris des menaces au président, j’ai réussi à manipuler tous les grands de ce pays, tout le monde a eu peur que le projet stargate soit révélé au monde ! Je tenais le monde dans mes mains !

Sam : C’est vous qui avez déposé la bombe à l’armurerie ?

Walter : De quoi vous me parlez, là ?? Je n’ai pas posé de bombe ici, je travaille dans cette base au cas où vous n’auriez pas remarqué !

Jack : Bah si c’est pas lui, c’est qui ?? On a quand même pas deux maîtres chanteurs !

Sam : Vous n’étiez pas de service quand on a trouvé cette bombe, vous auriez très bien pu la déposer et faire en sorte qu’elle explose quand vous n’étiez pas dans la base ?

Walter : Je vous dis que je n’ai pas déposé de bombe, du moins pas encore !

Sam : Pete ???

Jack : Vous pensez encore à lui ?

Sam : Ca expliquerait vraiment bien des choses !

Walter : Ca va, je ne vous dérange pas trop là !

Jack : Bon écoutez sergent, c’est pas qu’on s’ennuie, mais là on a quand même quelques affaires à régler ! Si on pouvait trouver un terrain d’entente ! Nous savons que c’est vous qui avez posé cette bombe.

Walter : Si ça vous fait plaisir de le croire… Mais dès que j’ai mon argent, je vous laisse ! Alors …

Jack : Vous savez comme moi que jamais on ne vous donnera une telle somme !

Harriman voulu répliquer mais la porte s’ouvrit au même moment ! Teal’c entra dans la pièce et se trouva nez à nez avec le pistolet du sergent. Il ne fallut qu’une fraction de seconde pour que Jack saute sur lui et le désarme !
En l’espace de quelques secondes, tout l’univers s’écroula sous les pieds de ce pauvre Walter.
Après s’être assuré que tout le monde allait bien, le général O’Neill le conduisit à la surface. En attendant la voiture qui allait l’emmener au pentagone, il essaya de parler avec lui !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 15:18

Jack : Vous avez toujours été un excellent élément sergent, je regrette vraiment tout ce qui vient de se passer !

Walter : Et moi donc…

Jack : Mais j’ai du mal à croire que vous ayez fait tout ça tout seul !

Walter : Vous me croyez incapable d’avoir imaginé un tel plan ?

Jack : Non, mais je suis persuadé que vous avez un complice ! Soyez raisonnable et pensez à vous, dites son nom et on pourra vous trouvez des circonstances atténuantes !

Walter : Je ne suis pas une balance !

Jack : Donc vous avez bien un complice ? Mais sans vous il n’est rien !

Walter : Si j’avais effectivement un complice, et que je vous racontais tout, qu’est ce qui se passera pour moi ?

Jack : Venez avec moi Walter !

Jack l’emmena à l’écart vers la foret…L’ai pur, l’odeur des sapins délia rapidement la langue du sergent. En seulement 10 minutes d’interrogatoire, Jack obtenu tous les détails de l’opération.

Walter : Vous savez général, je vous appréciais beaucoup ! J’ai été un peu contraint de faire tout ça !

Jack : Je comprends, et je vais plaider en votre faveur auprès de l’état major ! Pete Shanaan ne va pas s’en tirer comme ça ! C’est lui qui vous a influencé et fait miroiter quelques idylliques projets !

Walter : Vous savez, il m’a en quelque sorte convaincu du bien fait de son projet ! Il pensait réellement que le SGC était dangereux et il voulait en faire sortir le colonel Carter. Mais il avait besoin d’un complice de l’intérieur pour transmettre tous les dossiers compromettants à Washington. J’ai vraiment été stupide !

Jack : Je ne dirais pas ça !

Walter : Je suis sincèrement désolé, et surtout envers le colonel Carter !

Jack : Mon petit Walter, c’est moi qui vais vous remercier, grâce à vous, ma vie va changer !

Walter : Ohhhhhh, et bien si j’ai au moins pu vous rendre service…

Jack ramena le sergent à l’entrée de la base, passa un coup de téléphone, et retourna auprès de lui.

Jack : Voilà, on va vous conduire au pentagone ! J’ai prévenu quelque personne, votre cas ne me semble pas si désespéré.

Walter : Merci beaucoup monsieur, je n’oublierais jamais…

La journée se termina enfin ! Jack alla s’installer à son bureau pour y finir les derniers dossiers, quand on frappa à la porte !

Jack : Oui entrez !!

Sam : Mon général, je souhaiterais vous parler.

Jack : Ah colonel, justement je vous attendais, moi aussi je voulais vous parler !

Il lui sourit de façon très malicieuse, et fut très heureux de voir que Sam en faisait autant. Elle prit place sur un des fauteuils !

Sam : Alors ?? On dirait que tout est bien qui fini bien. Malgré le fait que je reste persuadée que la bombe n’a pas été déposée pas Harriman !

Jack : Et tu penses toujours que Pete serait à l’origine de cette première alerte ?

Sam : Je sais que ça à l’air fou mais j’en ai vraiment l’intuition.

Jack : Il faut que je te dise quelque chose !

Il lui raconta tout ce que Walter lui avait dévoilé, et Sam en resta interdite. Après quelques minutes, elle se rendit à l’évidence, Pete Shanaan était vraiment fou.

Jack : Au moins il voulait t’éloigner de l’explosion !

Sam : Oui, ça me rassure qu’à moitié !

Jack : J’ai contacté Washington, ils sont déjà sur sa trace, son arrestation ne devrait plus tarder.

Sam : Toute cette histoire est quand même dingue ! Hier encore j’étais fiancée à ce type, et aujourd’hui il m’est devenu indifférente ! Je comprends qu’il ait été jaloux de mon métier, mais de là à imaginer un tel plan… Je préfère oublier tout ça !

Jack : Ah oui justement je voulais discuter de votre avenir colonel !

Sam : Ah ??

Il se leva, contourna le bureau, et se posta devant Sam ! Puis, la leva en lui prenant les mains ! Doucement il déposa un léger baiser sur ses lèvres !

Sam : Effectivement, mon avenir me semble déjà beaucoup plus clair!

Elle lui fit un sourire qui le fit littéralement fondre ! Enlacés, ils mesuraient enfin la joie d’être ensemble !

Un mois plus tard.

La base de Cheyenne Mountain était très calme en cette soirée ! Daniel et Jonas étaient rentrés chez eux, Teal’c se restaurait au mess, et le général O’Neill classa ses derniers dossiers du jour avant d’aller rejoindre son colonel préféré ! En tant que général de la base, il faisait appliquer son règlement, et il n’y eut plus aucun problème de loi au sein du SGC ! Pete Shanaan avait été arrêté, Walter, grâce à l’intervention de Jack et à un super avocat avait été acquitté mais démis de ses fonctions !

FIN !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyDim 29 Juil - 17:51

C'etait vraiment tres bien... ah on voit que tu ne l'aimais pas ce Pete lol... j'ai bien aime le jeu de mots incompris de nombre de personnes, ne vous entre-tuez pas, ca fait des taches... lol!
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyLun 30 Juil - 16:17

Hi hi, je suis contente que ça t'ai plut ...
Pete, sans commentaire lol !! En plus il a une tête qui ne me revient pas , et quand je l'ai vu dans la pub pour les croquettes pour chien, là je me suis dit, " oh mon dieu" mdr

Mais par contre je trouve que ce pauvre Walter n'est pa bien chanceux tout de même, il passe toujours en second plan et on ne se souvient même plus de son nom !!
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyLun 30 Juil - 18:33

Je suis d'accord. En 2010 on fait un peu plus attention a lui, j'ai trouve ca sympa... souligner le fait qu'il etait toujours la mais que l'equipe en avait presque oublie son nom depuis la fermeture du SGC... je trouvais ca bien de souligner ainsi son role...
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyMar 31 Juil - 16:03

Indeed ^^
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyMar 31 Juil - 18:36

En tout cas c'etait bien sympa toutes ces petites fics, merci d'avoir partage ca avec moi... dommage que ce soit fini... snif... mais j'ai passe de tres bons moments, c'est l'essentiel!
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait EmptyMer 1 Aoû - 15:18

Je t'en remercie Aldbarade, j'ai été contente que tout ceci te plaise ! Il m'arrive d'aller en lire certaines et il y a quelques auteurs qui reviennent assez souvent et qui font des trucs vraiment pas mal du tout !
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MessageSujet: Re: Fic SG1 : Une histoire banal en fait   Fic SG1 : Une histoire banal en fait Empty

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